« Histoire réelle de Simland » : différence entre les versions
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→Une fête nationale en fanfare et un pays réuni
(→Absence de Fololilalimb et coup d'Etat du 28 juillet 2012 : faute d'orthographe) |
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==Une fête nationale en fanfare et un pays réuni== | ==Une fête nationale en fanfare et un pays réuni== | ||
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| '''A partir d'ici, la page est en travaux approfondis.'''<br><small>''Une version de précision supérieure sera disponible sous peu.''</small> | |||
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*Avril 2015 : ''crise papaïotte'' | |||
Papaya connut une crise politique majeure, au moment des élections étatiques. A la suite d'une application stricte des règles établissant les scrutins, l'ancien Gouverneur The Angel Resurrection perdit son fauteuil, au profit de l'opposition menée par Sebastien Diozzo. Rejetant le résultat du scrutin, l'ex-gouverneur mit sur pieds un gouvernement en exil, au Nicaragua, revendiquant posséder l'autorité à Papaya. La crise se résolut trois mois plus tard, quand le gouverneur élu, Sebastien Diozzo, accepta de partager son mandat à part égale avec l'ex-gouverneur en exil T.A.R. | |||
* Octobre-Novembre 2015 : ''l'épisode Frontax'' | |||
Période de grand trouble autour de la question génésienne, au cours de laquelle les Gouverneurs du Lewsland (Metri), de Méridionie (Latthis), des Grandes Plaines (M. Bonaparte) ont reproché à la Génésie (Maître-Voltaire) l'établissement d'une milice privée et à son positionnement aux frontières. Le Queens et Papaya sont aussi restés vigilants sur ce point. | |||
La ville de Nantz s'est proposée pour héberger un sommet alors appelé "de la dernière chance", mais entre-temps, le Gouverneur de Génésie a dissous ''Frontax'', permettant un retour au calme, encouragé par le Président Sim Hurban. | |||
* 9 décembre 2015 : ''la'' "Baden Baden"'' du Vice-Président'' | |||
En fonction depuis peu de temps, le Vice-Président [[M.Bonaparte]], motivé dans son engagement, accepte mal les critiques émanant de l'opposition. Déçu et découragé par cela, il pose sa démission de ses mandats (Vice-Président et Grandes Plaines). Le Président [[Gwench]] refusa la démission de la Vice-Présidence. Quant aux Grandes Plaines, grâce à une grande compréhension des Maires de l'Etat, [[M.Bonaparte]] conserve son mandat. Finalement, l'incident, bref mais vif, a vite été circonscrit. | |||