Aller au contenu

« Bruimeville » : différence entre les versions

1 982 octets ajoutés ,  12 février 2017
Ligne 95 : Ligne 95 :


Paul Compte, liberal lui aussi succède à Rebois lors d'élections sérrés et marqués par des affaires de clientélisme électoral. Son mandat est marqué par une épuisement des ressources pétrolières de la ville qui étaient, concrètement aux dires des industriels, loins d'etre inépuisables, La crise économique s'abat vite sur la ville à cause des fermetures multiples de puits de pétrole au cours des annes 1970 et 1980. L'ouverture de raffineries et d'un terminal méthanier ne remplaçant pas complètement cette activité.
Paul Compte, liberal lui aussi succède à Rebois lors d'élections sérrés et marqués par des affaires de clientélisme électoral. Son mandat est marqué par une épuisement des ressources pétrolières de la ville qui étaient, concrètement aux dires des industriels, loins d'etre inépuisables, La crise économique s'abat vite sur la ville à cause des fermetures multiples de puits de pétrole au cours des annes 1970 et 1980. L'ouverture de raffineries et d'un terminal méthanier ne remplaçant pas complètement cette activité.
En 1973, la Ge
En 1973, la Génesie lance un appel d'offre dans le but de construire une centrale nucléaire pour alimenter la région des Grand Lacs en électricité. Bruimeville est alors une ville quasiment en faillite et le Paul Compte décide d'accepter d'installer l'infrastructure à proximité de la ville. Après un référendum entaché de fraudes, les travaux débutent en 1974 pres du village de Sainte Clothilde sur la rive sud du [[Salzer]]. La [[Centrale nucléaire de Sainte Clothilde]] est ouverte en 1981 appprtant des emplois et des rentrées fiscales à Bruimeville.
Cependant, Paul Compte est balayé aux élections municipales de 1977 et remplacé par la socialiste Jeanne Seauvin.
 
=== Le renouveau de Bruimeville ===
 
L'élection de la jeune Jeanne Sauvin marque une rupture par rapport à la politique de ses prédécesseurs : un moratoire est décrété sur l'étalement urbain en 1984 pour préserver la nature pres de Bruimeville et une nouvelle politique économique est mise en place : rétablissement de commerces de proximité, aménagement de plages, de sentiers de randonnées pour favoriser le tourisme, reboisement massif...
Les résultats sont là : la population de Bruimeville dépasse les 100 000 habitants en 1991 et la ville connaît un nouveau souffle.
Les années 1990 sont marqués par une continuité politique avec l'élection de Marc Beau qui poursuit la politique de Jeanne Sauvin.
En 2004 est inaugurée la tour d'habitation [[Azur]] surplombant la ville et de nouveaux projets urbanistiques sont la ces sous le mandat de Karl Potier, maire centriste : renouvellement des quartiers sensibles ou à l'abandon, réaménagement des berges de la ville...
En 2011 est créée la [[Communauté d'Agglomeration Bruimeville Baie]] (CA2B) réunissant Bruimeville et quelques 12 autres communes de la baie de Bruime. Comptant pres de 150 000 habitants, cet ensemble est une opportunité pour la création de nouveaux projets transversaux pour la région de Bruimeville.
240

modifications