« Beaufort la Nouvelle » : différence entre les versions
→Histoire
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Au lendemain de la seconde guerre mondiale, ayant participé à défendre le flanc est de la russie contre le Japon, le rocher de Petrus accède au statut de principauté et est alors renommé Principauté de Beaufort en l’honneur du cousin du Comte Finskov parti en expédition dans le Grand Nord Canadien, mais qu’on n’a jamais revu. | Au lendemain de la seconde guerre mondiale, ayant participé à défendre le flanc est de la russie contre le Japon, le rocher de Petrus accède au statut de principauté et est alors renommé Principauté de Beaufort en l’honneur du cousin du Comte Finskov parti en expédition dans le Grand Nord Canadien, mais qu’on n’a jamais revu. | ||
Entre 1947 et 2000, cette principauté n’a cependant que peu de légitimité juridique. Ses habitants sont considérés comme de nationalité russe, la monnaie est le rouble et le prince doit alors rendre régulièrement compte à la Douma de ses moindres activités. | Entre 1947 et 2000, cette principauté n’a cependant que peu de légitimité juridique. Ses habitants sont considérés comme de nationalité russe, la monnaie est le rouble et le prince doit alors rendre régulièrement compte à la Douma de ses moindres activités. | ||
En 2001, la monarchie constitutionnelle est enfin reconnue par la Russie, tant que celle-ce continue d’appliquer les lois russes et laissant libre circulation aux ressortissants russes ainsi que son armée. La principauté voit alors son pouvoir s’étendre à l’ensemble de l’enclave russe en Simland. S’ouvre alors une ère de prospérité pour les Beaufortais et Beaufortaises : commerces florissants, intense activité minière, établissement de résidences de milliardaires du monde entier, abolition de l’impot pour les natifs Beaufortais et Beaufortaises. Cette période reste aujourd’hui dans l’histoire comme la périodes des Septs Glorieuses. <br> | En 2001, la monarchie constitutionnelle est enfin reconnue par la Russie, tant que celle-ce continue d’appliquer les lois russes et laissant libre circulation aux ressortissants russes ainsi que son armée. La principauté voit alors son pouvoir s’étendre à l’ensemble de l’enclave russe en Simland. S’ouvre alors une ère de prospérité pour les Beaufortais et Beaufortaises : commerces florissants, intense activité minière, établissement de résidences de milliardaires du monde entier, abolition de l’impot pour les natifs Beaufortais et Beaufortaises. Cette période reste aujourd’hui dans l’histoire comme la périodes des Septs Glorieuses. <br> | ||
En 2008, Sa Majesté le Prince de Beaufort le Troisième entre en relation avec son voisin le Simland, afin d’établir un accord commercial et financier. Après deux journées intenses de débats, le Simland refuse tout association ou accord de quelque sorte, ignorant même l’existence du petit monarque sans prétention. Suite à cela la Russie voyant cet acte comme un traitrise peu avant les élections inflige un blocus draconien sur la principauté. C’est le début de la fin | En 2008, Sa Majesté le Prince de Beaufort le Troisième entre en relation avec son voisin le Simland, afin d’établir un accord commercial et financier. Après deux journées intenses de débats, le Simland refuse tout association ou accord de quelque sorte, ignorant même l’existence du petit monarque sans prétention. Suite à cela la Russie voyant cet acte comme un traitrise peu avant les élections inflige un blocus draconien sur la principauté. C’est le début de la fin | ||
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Le prince et sa cour, soit 112 personnes s’atèlent à la tache pour reconstituer un peu de confort sur ses terres d’asiles inconnues. Ils deviennent d’abord electriciens, plombiers, agriculteurs, redécouvrent des valeurs nouvelles, avec un espoir nouveau. Le prince nommera ainsi cette île, Île d’Espérance. | Le prince et sa cour, soit 112 personnes s’atèlent à la tache pour reconstituer un peu de confort sur ses terres d’asiles inconnues. Ils deviennent d’abord electriciens, plombiers, agriculteurs, redécouvrent des valeurs nouvelles, avec un espoir nouveau. Le prince nommera ainsi cette île, Île d’Espérance. | ||
Le petit camp de fortune, grace à l’aide des Simlandais devient rapidement un village fier et campagnard où tous vivent en paix dans une ambiance légère et bonne enfant. Aujourd’hui prince, comtes et ducs vivent parmis la population sans autres manières, n’ayant conservé de leur passé guère plus que leur titres de noblesse et quelques souvenirs de famille . | Le petit camp de fortune, grace à l’aide des Simlandais devient rapidement un village fier et campagnard où tous vivent en paix dans une ambiance légère et bonne enfant. Aujourd’hui prince, comtes et ducs vivent parmis la population sans autres manières, n’ayant conservé de leur passé guère plus que leur titres de noblesse et quelques souvenirs de famille . | ||
Depuis les dernières elections russes de février 2008, les tensions entre néobeaufortais et beaufortais sont retombées. La route reliant les deux régions a été rétablie, en fanfare, entrainant alors un boom démographique en Nouvelle Beaufort dans le sud-ouest de la région. Aujourd'hui plus de 80% de la population vie dans cette partie du territoire néobeaufortais. Cette "invasion russophone" n'est d'ailleurs pas toujours bien vue par la haute société d'Espérance danoise qui n'a pas oublié l'épisode de La Grande Fuite. | Depuis les dernières elections russes de février 2008, les tensions entre néobeaufortais et beaufortais sont retombées. La route reliant les deux régions a été rétablie, en fanfare, entrainant alors un boom démographique en Nouvelle Beaufort dans le sud-ouest de la région. Aujourd'hui plus de 80% de la population vie dans cette partie du territoire néobeaufortais. Cette "invasion russophone" n'est d'ailleurs pas toujours bien vue par la haute société d'Espérance danoise qui n'a pas oublié l'épisode de La Grande Fuite. |