« Bundesrat » : différence entre les versions
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Depuis la création de [[Nova Helvetica]], soit | Depuis la création de [[Nova Helvetica]], soit en août 1706, le type de gouvernement en place dans l'archipel a toujours été la démocratie. Le Bundesrat n'a pourtant pas toujours compté autant de membres. Ils étaient sept au départ puis dix, vingt et enfin quarante. Le gouvernement néo-hélvétien n'a pas toujours été exempt de tout reproche. Au départ, on lui reprochait le fait que la totalité de ses membres provenait de familles de riches propriétaires terriens de l'archipel. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, plusieurs observateurs considéraient le Bundesrat (littéralement "Conseil Fédéral") plus comme une oligarchie que comme un gouvernement élu démocratiquement. Cependant l'augmentation du mécontentement populaire liée à une révolution industrielle mal digérée poussèrent la droite libérale conservatrice qui possédait en 1890 la quasi totalité des sièges du Bundesrat à céder quelques sièges à la classe ouvrière. La classe moyenne dites "bourgeoise" réussi à s'y faire une place les années qui suivirent. En 1910, le Bundesrat était composé par quatre parties politiques: le Parti Libéral Conservateur, le Parti Démocrate-Chrétien, le Parti Socialiste et le Parti Communiste. Aujourd'hui, de ceux-là, seuls les libéraux/radicaux et les démocrates chrétiens ont survécu. Durant la seconde Guerre mondiale, le Bundesrat opta pour la voie de la neutralité. Craignant d'être le premier objectif des deux camps, [[Nova Helvetica]] étant situé entre le Japon et les U.S.A., les "Sages" du Bundesrat prirent sûrement la meilleure décision. Là où le bas blesse encore aujourd'hui parmis les intellectuels néo-hélvétiens et internationaux c'est que le Bundesrat accepta de recueillir l'argent de criminels nazis et japonnais durant la guerre. Pire encore, certains s'enfuirent même à Nova Helvetica à la fin de la guerre. Pressé par les alliés, le Bundesrat dut alors faire la chasse aux "sorcières" et aux comptes occultes jusque dans les années septantes. En 1980, une nouvelle loi fiscale fut votée par le parlement et de nombreuses fortunes étrangères commencèrent à affluer vers l'archipel. C'est à partir de là que Nova Helvetica fut surnommé le "Paradis fiscal du Pacifique Nord". Cette loi fut également applicable pour les entreprises quelques années plus tards et c'est ce qui fit véritablement bondir l'économie local. Multinationales, grandes banques, sociétés financières, en moins de dix ans, Nova Helvetica devint la "Singapour du Nord". Le 22 Octobre 2007, le Bundesrat pris une décision historique en votant l'adhésion de l'archipel au grand voisin simlandais, ouvrant ainsi le marché économique local à une nation entière... | ||
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