« Nieuw Sterk » : différence entre les versions
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Nieuw Sterk s'est longtemps basée sur une économie industrielle basée sur la métallurgie, la pêche, le transport maritime, les chaussures, l'automobile et l'agriculture. Malheureusement, depuis les 40 dernières années, ces secteurs sont en déclins ou ont disparu ; les aciéries sont allées en asie, les chaussures au Bangladesh, les compagnies d'automobile américaines sont revenues chez elles, les agriculteurs n'avaient plus de fils à qui léguer leur terre et le port maritime est presque vide et a été menacé de fermeture plus d'une fois dans les années 1980. | |||
Depuis les années 00, sous l'initiative de l'état fédéral, des gouverneurs du [[Queens]] et des différents maires de NS, de nouvelles industries alternatives ont commencé à voir le jour. L'engouement pour de nouveaux produits du terroir ont fait renaître les campagnes, les initiatives d'achat local et d'achat écolo ont investi les usines désaffectées et les débardeurs du port sont réengagés. L'industrie artistique commence aussi à pointer le bout de son nez. | |||
Toutefois, malgré cette lueur, la ville est loin d'être sortie du tunnel. Le chômage dépasse les 15% ; dans les quartiers les plus pauvres on dépasse la barre du 40%. Avec les prestations d'assurance sociale et le subventions à répétition des gouvernements pour garder dans la région quelques créateurs d'emplois, Nieuw Sterk reçoit davantage de [[Simléon|Simléons]] du fédéral qu'elle en donne en impôts que la majorité des villes de sa taille à travers [[Simland]]. | |||
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