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=== Parcours politique ===
=== Parcours politique ===
Il entre en politique dès sa majorité et milite depuis toujours au centre-droit.
Suite à la victoire présidentielle de [[Jardas]], il est nommé Secrétaire d'Etat au Tourisme et au Patrimoine en novembre 2010; il démissionne 15 jours plus tard, acculé par les critiques après avoir été accusé à tort dans une affaire douteuse. Il est le même mois réélu maire de [[Tarbonne]] avec 56,4% face à Henri Leberte.
Membre actif de l'[[USC]], il est élu maire de [[Tarbonne]] pour la première fois en janvier 2010 avec 66,1% face au candidat socialiste Henri Leberte; réélu en juin de la même année face à la PDS Marie Galois avec 63,7%, il accède à la présidence de la [[Communauté d'Agglomération de Tarbonne-Métropole]] et décroche par deux fois de suite la mairie du secteur 4.
En septembre 2010 il accède à la présidence d'[[Air Meridional]]. Suite à la victoire présidentielle de [[Jardas]], il est nommé Secrétaire d'Etat au Tourisme et au Patrimoine en novembre 2010; il démissionne 15 jours plus tard, acculé par les critiques après avoir été accusé à tort dans une affaire douteuse. Il est le même mois réélu maire de [[Tarbonne]] avec 56,4% face à Henri Leberte.
En décembre 2010, il se lance dans la campagne électorale pour le poste de gouverneur du Grand Sud mais est battu à l'issue du vote gouvernemental pour départager les candidats en obtenant 42,9% des suffrages exprimés; il retrouve le même mois son siège de maire du secteur 4 avec 60,4%.
En décembre 2010, il se lance dans la campagne électorale pour le poste de gouverneur du Grand Sud mais est battu à l'issue du vote gouvernemental pour départager les candidats en obtenant 42,9% des suffrages exprimés; il retrouve le même mois son siège de maire du secteur 4 avec 60,4%.


=== Bibliographie ===
=== Bibliographie ===
En novembre 2010, il publie son premier ouvrage "Face à la calomnie" dans lequel il raconte les premières semaines de son mandat  de ministre où, plongé à tort dans une affaire douteuse,  il a été victime de pressions et de diffamations.
En novembre 2010, il publie son premier ouvrage "Face à la calomnie" dans lequel il raconte les premières semaines de son mandat  de ministre où, plongé à tort dans une affaire douteuse,  il a été victime de pressions et de diffamations.
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