« Beaumont-les-ducs » : différence entre les versions
Mise à jour de l'histoire première, deuxième et début de troisième partie.
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Ensuite, il faudra attendre 1862 pour voir paraître le premier quotidien régional "''La feuille à Patate''", cette feuille d'avis paraissait tous les jeudi et annonçait les prochaines place de vente (ou marché) et informait les 814 villageois de la région des faits divers. Cette feuille, devenue un journal hebdomadaire existe toujours et paraît quotidiennement à 19h sous le nom de "Beau Soir". | Ensuite, il faudra attendre 1862 pour voir paraître le premier quotidien régional "''La feuille à Patate''", cette feuille d'avis paraissait tous les jeudi et annonçait les prochaines place de vente (ou marché) et informait les 814 villageois de la région des faits divers. Cette feuille, devenue un journal hebdomadaire existe toujours et paraît quotidiennement à 19h sous le nom de "Beau Soir". | ||
==Les années folles== | ==Les années folles== | ||
52 ans plus tard, en 1914, la première guerre mondiale par là, non pas en tant que conflit mais en tant que manne économique. Effectivement, les armées, aussi bien anglaise que française, n'arrivent plus à subvenir à la demande de pomme de terre qu'affectionnait particulièrement les cuisiniers qui la trouvait "simple, pratique et pas chère à préparer".<br> | |||
C'est alors vers les pays neutres que ces armées se tournent et particulièrement vers Simland où ils découvrent la région des Beaux-Monts (ancien nom de la région du Mont d'Or) avec ses cultures de pommes de terre bien développées. Ce sera un afflux de demande historique pour la région avec pas moins d'un million de tonnes annuelles.<br> | |||
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Après guerre, c'est la frénésie qui empare les agriculteurs ayant gagnés énormément d'argent. Ils vont commencer à investir dans du matériel neuf et puissant ainsi que dans l’agrandissement de leurs exploitations. C'est pourquoi on nomme cette période, les années folles dans la région en clin d'œil aux années folles française. Mais l'argent n'étant pas infini, les agriculteurs se retrouve sur la paille sans moyen de financer les immenses installations neuves. C'est en 1948 que l'épée de Damoclès tombe sur les flambeurs, la production de pomme de terre n'arrive plus à suivre la demande et la cours des comptes décide d'enquêter pour comprendre le phénomène. C'est là que de nombreuses faillites sont déclarées, ruinant tout le secteur prospère des Beaux-Monts. | |||
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==La modernisation== | ==La modernisation== | ||
<br> | En 1952, les ducs de Bretagne et de Bourgogne, derniers du nom [[Beaumont-les-ducs#Notes|<sup>Note 1</sup>]], effectuent une visite de courtoisie quand ils apprennent que la région est en péril économique. Ils décident alors de jouer de leurs relations pour renflouer les caisses communes et c'est grâce à eux que la région n'a pas disparu. C'est dès lors que les habitant de Belmont-les-vals décident de renommer leur village en Beaumont-les-ducs.<br> | ||
Après cette relance économique, on décide de la modernisation des infrastructures par la création du chemin de fer de Val d'Haon, surnommé le trains des patates en raison de ses nombreux transports de pomme de terre à la coopérative "TerraDucs" située à Beaumont. | |||
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=Economie= | =Economie= | ||
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===Transports en communs=== | ===Transports en communs=== | ||
La ville est équipé d'un réseau de transport en commun moderne nommé [[Transports Intercommunaux de Beaumont-les-ducs | TIB (Transports Intercommunaux de Beaumont-les-ducs)]].<br> | La ville est équipé d'un réseau de transport en commun moderne nommé [[Transports Intercommunaux de Beaumont-les-ducs | TIB (Transports Intercommunaux de Beaumont-les-ducs)]].<br> | ||
=Notes et références= | |||
==Notes== | |||
1 : Ils ne sont ducs que par titre honorifique, le titre de duc n'étant plus attribué depuis 1870 | |||