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« Aurora » : différence entre les versions

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===Seconde Guerre Mondiale===
===Seconde Guerre Mondiale===
Aurora fut fortement touchée par le conflit. Notamment avec la [[bataille d'Aurora]] en mai 1944.
Aurora fut fortement touchée par le conflit. Notamment avec la [[bataille d'Aurora]] en mai 1944. Durant cette bataille, les troupes soviétiques venue du Thoulak voisin, viendront preter main forte aux armées américaines afin de chasser les troupes de l'[[Empire Méridional]] de la région.
 
===Grève de 1980===
===Grève de 1980===
En 1980, a lieu à Aurora, une grave crise économique. La principale usine Métallurgique, diriger par le frère du Bourgmestre, Alexandre Thompson, ferme. 12980 ouvriers, tous Auroréens se retrouve sans emplois. Cela provoque de grave troubles dans la ville. Des émeutes éclatent le 7 juillet sur la Grand Place après un meeting du Syndicat. Les heurts, avec la Police sont violents. Cinq ouvriers sont abattus par les forces de l'ordre. Toute la population est sous le chocs, les syndicats en front commun, déclarent un avis de grève générale.La ville est paralysée, toutes les voies de communications avec les principales villes du pays sont bloquées, plus personnes n'entrent, plus personne ne sort. Le conseil communal démissionne. L'armée fédérale est envoyée à Aurora. Sous la menace d'une guerre civile, le gouvernement du [[Simland]] cède. L'usine est nationalisée. Les esprits se calment, un nouveaux bourgmestre, [[NPV|Violetiste]] est élu : Alexandre Blondiaux de Battignies, toujours en fonctions. La ville est saccagée par 4 mois de contestations. Cette crise est appelée [[Grèves de 1980]]
En 1980, a lieu à Aurora, une grave crise économique. La principale usine Métallurgique, diriger par le frère du Bourgmestre, Alexandre Thompson, ferme. 12980 ouvriers, tous Auroréens se retrouve sans emplois. Cela provoque de grave troubles dans la ville. Des émeutes éclatent le 7 juillet sur la Grand Place après un meeting du Syndicat. Les heurts, avec la Police sont violents. Cinq ouvriers sont abattus par les forces de l'ordre. Toute la population est sous le chocs, les syndicats en front commun, déclarent un avis de grève générale.La ville est paralysée, toutes les voies de communications avec les principales villes du pays sont bloquées, plus personnes n'entrent, plus personne ne sort. Le conseil communal démissionne. L'armée fédérale est envoyée à Aurora. Sous la menace d'une guerre civile, le gouvernement du [[Simland]] cède. L'usine est nationalisée. Les esprits se calment, un nouveaux bourgmestre, [[NPV|Violetiste]] est élu : Alexandre Blondiaux de Battignies, toujours en fonctions. La ville est saccagée par 4 mois de contestations. Cette crise est appelée [[Grèves de 1980]]