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« Aurora » : différence entre les versions

120 octets ajoutés ,  18 septembre 2013
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===Grève de 1980 et après===
===Grève de 1980 et après===
En 1980, a lieu à Aurora, une grave crise économique. La principale usine Métallurgique, diriger par le frère du Bourgmestre, Alexandre Thompson, ferme. 12980 ouvriers, tous Auroréens se retrouve sans emplois. Cela provoque de grave troubles dans la ville. Des émeutes éclatent le 7 juillet sur la Grand Place après un meeting du Syndicat. Les heurts, avec la Police sont violents. Cinq ouvriers sont abattus par les forces de l'ordre. Toute la population est sous le chocs, les syndicats en front commun, déclarent un avis de grève générale.La ville est paralysée, toutes les voies de communications avec les principales villes du pays sont bloquées, plus personnes n'entrent, plus personne ne sort. Le conseil communal démissionne. L'armée fédérale est envoyée à Aurora. Sous la menace d'une guerre civile, le gouvernement du [[Simland]] cède. L'usine est nationalisée. Les esprits se calment, un nouveaux bourgmestre, [[Parti Communiste Auroréen|Communiste]] est élu : Alexandre Blondiaux de Battignies. La ville est saccagée par 4 mois de contestations. Cette crise est appelée [[Grèves de 1980]]
En 1980, a lieu à Aurora, une grave crise économique. La principale usine Métallurgique, diriger par le frère du Bourgmestre, Alexandre Thompson, ferme. 12980 ouvriers, tous Auroréens se retrouve sans emplois. Cela provoque de grave troubles dans la ville. Des émeutes éclatent le 7 juillet sur la Grand Place après un meeting du Syndicat. Les heurts, avec la Police sont violents. Cinq ouvriers sont abattus par les forces de l'ordre. Toute la population est sous le chocs, les syndicats en front commun, déclarent un avis de grève générale.La ville est paralysée, toutes les voies de communications avec les principales villes du pays sont bloquées, plus personnes n'entrent, plus personne ne sort. Le conseil communal démissionne. L'armée fédérale est envoyée à Aurora. Sous la menace d'une guerre civile, le gouvernement du [[Simland]] cède. L'usine est nationalisée. Les esprits se calment, un nouveaux bourgmestre, [[Parti Communiste Auroréen|Communiste]] est élu : Alexandre Blondiaux de Battignies. La ville est saccagée par 4 mois de contestations. Cette crise est appelée [[Grèves de 1980]]
Depuis, la ville a repris son train de vie habituelle. Un monument au mort de cette grève, est érigé au centre de la Grand Place.
Depuis, la ville a repris son train de vie habituelle. Un monument au mort de cette grève, est érigé au centre de la Grand Place. Chaque année, le 19 septembre, les autorités communales et le Syndicat des Métallos, organisent des commémorations.


En 2012, 2 ans après le début de son sixième mandat, Alexandre Blondiaux de Battignies est trainé en justice et est contraint de démissionner. Son neveu [[Léonidas Blondiaux de Battignies]], alors conseiller communal du [[Parti Communiste Auroréen|PCA]] est élu pour remplacer son oncle. En moins d'un an, il redynamisera Aurora et la replacera sur la carte politique des [[Plaines de l'Avalon]], notamment en formant un cartel du PCA avec le [[Mouvement Démocrate Centriste|MDC]], cartel qui explosera au soir des élections régionale de 2013.
En 2012, 2 ans après le début de son sixième mandat, Alexandre Blondiaux de Battignies est trainé en justice et est contraint de démissionner. Son neveu [[Léonidas Blondiaux de Battignies]], alors conseiller communal du [[Parti Communiste Auroréen|PCA]] est élu pour remplacer son oncle. En moins d'un an, il redynamisera Aurora et la replacera sur la carte politique des [[Plaines de l'Avalon]], notamment en formant un cartel du PCA avec le [[Mouvement Démocrate Centriste|MDC]], cartel qui explosera au soir des élections régionale de 2013.