« Greenvale » : différence entre les versions

La gestion Anglaise de la ville s'avère désastreuse. La première chose qu'ils font est de raser les murailles de Greenvale. Aussitôt, un "bidonville" s'installe, remplacé en 1947 par le Parc St Maixent (''anglais : St Maxim Parc''). L'occupation des Anglais est très mal vécue par les valéens, qui s'exilent un à un dans la voisine [[Génésie (Historique)|Génésie]], où les conditions de vies sont moins dures. Les conditions de vie sont surtout difficiles pour les valéens de souche à vrai dire, car les Britanniques profitent d'une ruée vers l'Or, en effet la vallée de la [[Cowanesque River]] est très riche en gisements d'or, ce qui empêche Greenvale de tomber dans l'oubli et la récession. Lorsqu'enfin en 1919 les Britanniques abandonnent le Queens, la ville de Greenvale a quintuplé en surface. La croissance revient lentement. A partir de 1945, la ville commence à se développer considérablement, grâce au tourisme. L'arrivée des congés payés au Queens en 1950 va encore accélérer ceci. La baie naturellement belle de Greenvale va permettre une progression exponentielle du nombre de touristes entre 1950 et 1990. Alors que de grandes tours de logement se construisent au sud de la baie, le nord se développe en un quartier riche, et la plage se change en une véritable station balnéaire.

En 2006, un maire nommé Luchas Flodingoss arrive au pouvoir. Sa gestion assez catastrophique de l'argent et de l'environnement amène le peuple à réclamer un maire-adjoint, qui pourrait décider en quelque sorte à la place du maire. [[Tomy Kentleprix]], un jeune politique avec l'étiquette [[AES]], et, de plus, le descendant de [[Julian Of Kentleprix]], est alors élu pour remplir cette mission. Luchas Flodingoss est finalement destitué le 12 Septembre 2011. [[Tomy Kentleprix]] annonce des élections municipales pour la mi-octobre. Il est élu sous sa nouvelle étiquette du [[NPV]] le 23 Octobre 2011, avec 69.7% des suffrages, face à Helmut Von Thorgau ([[USC]]).

Les arrondissements portant des numéros compris entre 15 et 21 sont les arrondissements en bordure de la ville. Ce sont les plus larges. Le 15ème arrondissement est l'arrondissement connaissant la croissance la plus forte ces temps-ci, notamment grâce à l’agrandissement du périphérique intérieur en 2009, qui a permis le développement des environs de la Porte de New Amsterdam. Dans cet arrondissement on trouve l'aéroport et les industries high-tech qui l'entourent, l'ancien pôle pétrolier de Greenvale, et Francis Shores, un quartier pavillonnaire en escalier le long des pentes des collines alentours. Le 16ème est le quartier le plus méridional mais aussi le plus pauvre de Greenvale. C'est l'arrondissement de Garbage City et de la porte de Ramur. Le 17ème, légèrement plus réduit, est un arrondissement très peu densément peuplé, non seulement du fait qu'il est essentiellement couvert de banlieues pavillonnaires, mais aussi et surtout car il est couvert, pour 54% de sa surface, de Juneau Forest, avec une forêt de sapins, laissée intacte grâce à la forte dénivellation de ce lieu, ne facilitant pas l'urbanisation. Cette forêt fait maintenant partie intégrante du paysage valéen. Les 18èmes et 19èmes arrondissements sont des banlieues pavillonnaires étalées. Le 19ème a cependant un pôle d'activité important à Greenvale, avec un grand parking, le centre des congrès, et le Nevis Stadium. Le 20ème arrondissement est le plus riche de Greenvale, surnommé California Heights pour sa ressemblance avec Hollywood Hills. Connu pour son architecture particulière, il n'a pourtant aucun haut-lieu en particulier, mais on y a une vue exceptionnelle sur le lac Kinoa et sur les montagnes qui l'entourent. Le 21ème enfin est surnommé "Richhills", car il s'agit là aussi d'un quartier très riche. Construit sur une petite colline au bord du lac Kinoa, on y a une vue panoramique sur toute la ville, et une proximité immédiate avec le quartier antillais, véritable pôle touristique à Greenvale.

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