« Marulows » : différence entre les versions

Les pillages  vont également profaner de nombreux temples qui vont être la sources de nombreuses tensions entre Espangols et Marulows, la déforestation étant une tension de plus. Face à cela, les Marulows vont retrouver des modes de vie ancestraux de la période Totékés sans jamais retrouver leur gloire d'antan.

L'esclavagisme sera de rigueur pendant 3 longs siècles  où les Marulows hommes seront des paysans tandis que les femmes  seront des bonnes d'enfants pour les grandes familles riches espangoles. Peu à peu les Marulows vont s'hispaniser et s'évangéliser leur évitant de trop gros travaux. Il y eut quelques révoltes dans les champs de plantation mais la situation persista. Au 18ème siècle, les Espangnols sont bousculés par les Britanniques du côté de [[Mangrova]], ce qui les obligera à explorer un peu plus la [[Forêt Opikanoba]].

A partir du 19ème siècle, c'est l'époque des explorations  dans la Forêt Opikanoba. Les Marulows sont non seulement réduits en esclavages mais sont considérés comme des animaux. Ils sont exposés dans les marchés et les foires où ils sont raillés. Finalement , il faudra attendre la fin de l'esclavage pour que les Marulows reprenne leur destin en main.

Tout au long du 20ème siècle, les populations Marulows ne cessent de chuter. En 1900, ils étaient encore 10 millions , il n'en restera plus que 1 million à la fin du siècle. La déforestation progressive, le désinterêt de leur culture et la perte de leur mode de vie vont  profondément changer leur société. A partir des années 80, 70% des Marulows sont métissés avec d'autres populations ce qui fait que les véritables populations seront minoritaires. Afin de protéger la [[Forêt Opikanoba]], la Confédération des Comores en fait un immense parc naturel où les Marulows auront un rôle majeur. Cette forme de gérance sera prolongée par la Fédération de Simland dès 2003 puis par les différents Etats et enfin le [[Consul de Papaya]]