« Grèves de 1980 » : différence entre les versions
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(Page créée avec « Grande crise politico-économique survenue en juillet 1980 à Aurora en Oulatar. ==Origines de la Crise== En janvier 1980, Alexandre Thompson II, est élu bourgmest... ») |
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Les grévistes bloquent toutes les voies d'accès à la ville. Les routes sont barrées, les lignes de chemins de fer sabotter, le téléphone coupé ! La ville est en état de siège, la police n'est plus de taille ! Le bourgmestre fuit la ville. Les échevins démissionnent. L'armée fédérale est envoyée à Aurora, la menace d'une guerre civile gronde, des syndicalistes des 4 coins du pays se joignent à la lutte. | Les grévistes bloquent toutes les voies d'accès à la ville. Les routes sont barrées, les lignes de chemins de fer sabotter, le téléphone coupé ! La ville est en état de siège, la police n'est plus de taille ! Le bourgmestre fuit la ville. Les échevins démissionnent. L'armée fédérale est envoyée à Aurora, la menace d'une guerre civile gronde, des syndicalistes des 4 coins du pays se joignent à la lutte. Le 18 septembre, le gouvernement Simlandais cède, et nationalise l'usine. Le lendemain, la grève prend fin, les ouvriers reprennent leur poste. Le lendemain, le Bourgmestre démissionne, Alexandre Blondiaux de Battignies est élu quelque jours plus tard. | ||
==Conséquence== | ==Conséquence== | ||
Le gouvernement fini par céder, toutes les conditions des grévistes sont acceptées, les usines sont nationalisée le temps de la relance économique. De nouvelles élections sont tenues. Léonidas Blondiaux de Battignies ([[Parti Communiste Auroréen]]) est élu bourgmestre sur un score stalinien. | Le gouvernement fini par céder, toutes les conditions des grévistes sont acceptées, les usines sont nationalisée le temps de la relance économique. De nouvelles élections sont tenues. Léonidas Blondiaux de Battignies ([[Parti Communiste Auroréen]]) est élu bourgmestre sur un score stalinien. |