« Napoléon La Violette » : différence entre les versions
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[[Image:NAPOSnèg01.jpg|thumb|250px|left|Napoléon La Violette à la mairie de [[Snèg]]]] | [[Image:NAPOSnèg01.jpg|thumb|250px|left|Napoléon La Violette à la mairie de [[Snèg]]]] | ||
===Jeunesse=== | ===Jeunesse=== | ||
Peu de choses sont connues sur la vie du Secrétaire général avant son arrivée à Simland. Selon la version officielle délivrée par les autorités thoulakiennes, La Violette est le fils d'un général de l'armée soviétique en disgrâce auprès du Soviet suprême, qui s'exila en France | Peu de choses sont connues sur la vie du Secrétaire général avant son arrivée à Simland. Selon la version officielle délivrée par les autorités thoulakiennes, La Violette est le fils d'un général de l'armée soviétique en disgrâce auprès du Soviet suprême, qui s'exila en France. Cette version est contredite par les travaux de l'universitaire américain Miguel San José, qui affirme avoir les preuves que Napoléon La Violette serait l'alter ego d'un certain Bougrelas Borg, né en 1961 de l'union entre un modeste fonctionnaire de province et une aristocrate livonienne ruinée. | ||
Il naquit vraisemblablement | Il naquit vraisemblablement en Russie européenne. La légende snejnigeoise prétend qu'au moment de sa naissance, toutes les lumières de la ville s'éteignirent, et une étoile filante passa au-dessus de Snèg. En réalité, la naissance elle-même semble s'être déroulée dans le plus grand secret, peut-être parce que ses parents étaient recherchés par les services de police. Il ne peut cependant éviter de s'inscrire à l'école, puis à l'université de Saint-Petersbourg où, bon élève, il aurait obtenu un diplôme de droit – bien que cette période, très floue, soit mal connue et qu'aucune hypothèse ne soit vérifiable, sinon par les rares documents administratifs et témoignages qui nous sont parvenus. | ||
On perd sa trace à la sortie de l'université. Il reparaît en 1986, dans une émission de télévision française : il participe à l'émission « Histoires d'histoire », un débat bimensuel sur un sujet historique (ici le Premier Empire). Il intervient en tant que participant libre et se montre assez hésitant, sa voix tremble. Cette apparition est démentie par sa biographie officielle. | On perd sa trace à la sortie de l'université. Il reparaît en 1986, dans une émission de télévision française : il participe à l'émission « Histoires d'histoire », un débat bimensuel sur un sujet historique (ici le Premier Empire). Il intervient en tant que participant libre et se montre assez hésitant, sa voix tremble. Cette apparition est démentie par sa biographie officielle. | ||