« Histoire de Simland » : différence entre les versions

m
Ligne 42 : Ligne 42 :
===Les Européens à la recherche de l'Eldorado===
===Les Européens à la recherche de l'Eldorado===


Cependant que la colonie périclitait, Philippe II, inquiet de ne pas voir arriver l'or promis, décida l'envoi d'un corps expéditionnaire de 1000 hommes avec mission de reprendre les affaires en main et de la mettre, d'ailleurs, cette main sur l'or d'[[Eldorado]]. Aquilles Talón, chef de cette troupe mercenaire, débarqua en 1577 et prit immédiatement le contrôle de la colonie d'[[Alianza]]. La destruction totale de l'[[Empire simtèque]], qu'il orchestra avec sa petite troupe, permit aux Espagnols de récupérer un butin impressionnant, ce qui amena à son tour les conquistadores à chercher d'autres butins au Sud. Les côtes de la [[péninsule comoréenne]] et des Apach, qui avaient été explorées par Narizana en 1572, reçurent à leur tour leurs premières colonies en 1592 ([[Utopia]]) et en 1594 ([[Aceira]]), qui cependant devinrent vite moins des colonies d'exploitation minière (le terrain étant trop marécageux) que des ports prospères entourés de plantations.
Cependant que la colonie périclitait, Philippe II, inquiet de ne pas voir arriver l'or promis, décida l'envoi d'un corps expéditionnaire de 1000 hommes avec mission de reprendre les affaires en main et de la mettre, d'ailleurs, cette main sur l'or d'[[Eldorado]]. Aquilles Talón, chef de cette troupe mercenaire, débarqua en 1577 et prit immédiatement le contrôle de la colonie d'[[Alianza]]. La destruction totale de l'[[Empire simtèque]], qu'il orchestra avec sa petite troupe, permit aux Espagnols de récupérer un butin impressionnant, ce qui amena à leur tour les conquistadores à chercher d'autres butins au Sud. Les côtes de la [[péninsule comoréenne]] et des Apach, qui avaient été explorées par Narizana en 1572, reçurent à leur tour leurs premières colonies en 1592 ([[Utopia]]) et en 1594 ([[Aceira]]), qui cependant devinrent vite moins des colonies d'exploitation minière (le terrain étant trop marécageux) que des ports prospères entourés de plantations.


Les Espagnols ne gardèrent pas très longtemps leur monpole d'exploitation du Nouveau-Nouveau Monde. En effet, les Français, trop inquiets de voir une nouvelle terre leur échapper, après qu'ils ont été exclus de la colonisation des Amériques, décident de rattraper leur retard en envoyant dès 1574 une expédition pour reconnaître les côtes et cartographier le continent. [[Jean de Verrazane]], petit-fils de l'explorateur éponyme du début du siècle, se voit confier cette mission et reconnaît les côtes occidentales ([[Queens]] actuel), notamment celles de la baie de [[New Amsterdam]] qu'il nomme alors [[Nouvelle Angoulême]], trop content, peut-être, de s'épargner la recherche d'un toponyme original en réutilisant celui donné par son grand-père à une île d'Amérique du Nord alors peu remarquée. Cependant cette expédition, purement topographique, ne fournit pas à Henri III les trésors de l'Eldorado tant espérés.
Les Espagnols ne gardèrent pas très longtemps leur monpole d'exploitation du Nouveau-Nouveau Monde. En effet, les Français, trop inquiets de voir une nouvelle terre leur échapper, après qu'ils ont été exclus de la colonisation des Amériques, décident de rattraper leur retard en envoyant dès 1574 une expédition pour reconnaître les côtes et cartographier le continent. [[Jean de Verrazane]], petit-fils de l'explorateur éponyme du début du siècle, se voit confier cette mission et reconnaît les côtes occidentales ([[Queens]] actuel), notamment celles de la baie de [[New Amsterdam]] qu'il nomme alors [[Nouvelle Angoulême]], trop content, peut-être, de s'épargner la recherche d'un toponyme original en réutilisant celui donné par son grand-père à une île d'Amérique du Nord alors peu remarquée. Cependant cette expédition, purement topographique, ne fournit pas à Henri III les trésors de l'Eldorado tant espérés.
1 565

modifications