« Santa Maria » : différence entre les versions
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→Changement de main, début de l'influence autrichienne
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<p>Après un siècle de prospérité, l' | <p>Après un siècle de prospérité, Santa Maria tomba entre les mains des français désireux de s'étendre depuis leur comptoir de Mercentille, conscients de l'importance stratégique d'un port comme Santa Maria dans la région nouvellement dénommée [[Royaume du Mercent|Mercent]]. En effet la zone très riches en pierres précieuses faisait l'objet depuis sa découverte de nombreuses convoitises. Sous l'impulsion des français, le développement de Santa Maria est sans égal, le port de Santa Maria devint très vite un lieu réputé et fonctionnait en complémentarité avec Mercentille.</p> | ||
A la chute du Premier Empire, tout le Mercent se souleva face au Roi Louis XVIII, jusqu'à l’indépendance dés 1821, où il devint un Royaume. Si Mercentille est choisie comme ville royale, Santa Maria continua d'être une plaque tournante du commerce au XIXe siècle et accueilli les différentes Compagnies des Indes en son port. C'est une période faste pour la ville qui dans l'euphorie du Royaume du Mercent et de la manne du commerce se dota d'un centre ville digne des métropoles européennes. Santa Maria s'inspira très largement des grandes cités anglaises, un style ramené par les marchands anglais qui faisait fureur dans les salons mercentillois. | |||
====L'administration franco-britannique==== | ====L'administration franco-britannique==== | ||
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