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La [[Génésie]] est un territoire à haut risque sismique. En effet, une série de failles traversent la Génésie du nord au sud, où une zone de subduction entre la plaque Eurasienne et la plaque Américaine se rencontrent. Il y a des millions d'années, la Génésie n'était qu'un plateau océanique, qui a lentement commencé à s'élever il y a environ 150 millions d'années. Aujourd'hui, l'ouest de la Génésie est l'une des zones les plus montagneuses du pays, les montagnes Rocheuses passant à l'ouest de la région. La conurbation windhoekienne a vécu 3 grands séismes de grande ampleur; celui de 2013 en fut le plus récent, avec une magnitude de 7 laissant 300 victimes et près de 50'000 damnifiés. Celui de 1993 a laissé sans vie 7 personnes et ne causant que des dégâts matériels mineurs, malgré une magnitude de 7,3. Le tremblement de terre de 1899 a laissé de gros dégâts sur la vieille ville, qui a dû être complètement restaurée pour éviter de perdre des joyaux du passé tels que l'Eglise Sainte Ricarda. La magnitude de ce séisme a été estimée entre 7 et 7,9 degrés Richter, et les dégâts dans l'échelle de Mercalli ont atteint jusqu'à X (désastreux) dans la commune de la Vieille, en cause, l'effondrement de nombreuses bâtisses vieilles de plus de 500 ans. Ces séismes, quoique rares, ont conduit la mairie à imposer des règles parasismiques très rigoureuses dés les années 1970; les bâtiments de plus de 50 mètres doivent être dans des matériaux très légers et flexibles, tels que l'acier, et les bâtiments moins imposants doivent être certifiés par l'office Sismologique de l'Université des Trois Chèvres et de l'Université National de Simland. Les maisons individuelles en armature de bois tels que le chêne et le pin, très résistantes, respectent également les normes parasismiques.

Windhoek est devenu la ville du sud de la Génésie ayant le plus d'habitants (Université Yolo, 2013). En effet, le '''Grand Windhoek''' héberge environ 4,7 millions d'habitants, dont environ le 95% habitent en ville et seulement le 5% habitent dans des régions rurales ([[Trois Croix]] notamment). Près du 95% de la population âgée de plus de 5 ans est alphabétisée; le 25% de la population active a suivi des carrières universitaires, dont la moitié a suivi un doctorat; Windhoek est l'une des villes les plus intelligentes du pays. Sur les 4'692'234 habitants que compte Windhoek d'après l'Université Yolo, il y aurait 2'350'322 de femmes et 2'341'912 d'hommes. La ville a connu un fort pic de croissance démographique pendant les années '50, lors du babyboom et de l'exode rural presque massif, produit des chômeurs de l'industrie des nitrates du sud-ouest, dont les prix se sont effondrés quelques années plus tôt. En effet, en province, le chômage atteignait 20%; dans la capitale seulement le 9,5%; une aubaine pour les licenciés du nitrate, qui espéraient trouver un travail dans l'industrie pétrolière, florissante depuis la découverte d'un puits pétrolier à Frederiksen, un village longtemps isolé de la civilisation. Mais malgré l'industrie pétrolière, pas tous n'ont trouvé du travail et des meilleures conditions de vie. C'est ainsi que les nouveaux arrivants s'installaient dans des "villas callampas" (villes champignons) comme s'amusent à dire les Windhoekiens. Encore aujourd'hui les séquelles sont visibles; les communes de [[Chuchunco]] et [[La Quebrada]] ont les niveaux de pauvreté les plus élevés de la région, et l'Université des Trois Chèvres estimerait le nombre d'établissements illégaux à environ 3'200 pour la seule commune de Chuchunco, soit le 75% des constructions chuchunquiennes. D'après l'Université des Trois Chèvres, la population windhoekienne devrait arriver à 5 millions en 2015, vu les politiques migratoires favorables à l'établissement dans la ville de Windhoek.

===Evolution démographique===