Aller au contenu

« Fièvre hémorragique du Queens » : différence entre les versions

Ligne 7 : Ligne 7 :
== Histoire et évolution des deux épidémies ==
== Histoire et évolution des deux épidémies ==


Le premier septembre dernier, soit quelques heures seulement après la création de l'Organisation Nationale Simlandaise de la Santé, les autorités sanitaires locales du Queens notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique, on signale déjà de nombreux malades et décès. Après de multiples analyses faisant craindre le virus Marburg ou encore Ebola, il ne s'agit d'aucune fièvre hémorragique connue. La fièvre hémorragique du Queens est unique : elle a la particularité d'être dotée d'une transmission interhumaine avérée et soutenue, chose que ne possèdent heureusement pas ses cousines plus létales, Marburg et Ebola. S'ensuit une épidémie dans l'état du Queens mais aussi en Génésie, en Papaya, au Lewsland et en Plaines de l'Avalon. Après plus d'un mois de lutte acharnée, l'ONSS déclare la fin de l'épidémie le premier octobre 2013. Le bilan final est très lourd : en moins d'un mois, le virus a contaminé 17 123 personnes et causé la mort de 6883 d'entre-elles. Par chance, l'épidémie ne s'est pas propagée dans d'autres pays, malgré quelques cas importés et heureusement isolés aux Etats-Unis, en Italie et au Royaume-Uni. Le directeur général de l'époque, Aaron Newton, déclare le 3 octobre 2013 que "le monde aurait pu être confronté à une pandémie de grande ampleur de par les caractéristiques de ce virus".
Le premier septembre 2013, soit quelques heures seulement après la création de l'Organisation Nationale Simlandaise de la Santé, les autorités sanitaires locales du Queens notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique, on signale déjà de nombreux malades et décès. Après de multiples analyses faisant craindre le virus Marburg ou encore Ebola, il ne s'agit d'aucune fièvre hémorragique connue. La fièvre hémorragique du Queens est unique : elle a la particularité d'être dotée d'une transmission interhumaine avérée et soutenue, chose que ne possèdent heureusement pas ses cousines plus létales, Marburg et Ebola. S'ensuit une épidémie dans l'état du Queens mais aussi en Génésie, en Papaya, au Lewsland et en Plaines de l'Avalon. Après plus d'un mois de lutte acharnée, l'ONSS déclare la fin de l'épidémie le premier octobre 2013. Le bilan final est très lourd : en moins d'un mois, le virus a contaminé 17 123 personnes et causé la mort de 6883 d'entre-elles. Par chance, l'épidémie ne s'est pas propagée dans d'autres pays, malgré quelques cas importés et heureusement isolés aux Etats-Unis, en Italie et au Royaume-Uni. Le directeur général de l'époque, Aaron Newton, déclare le 3 octobre 2013 que "le monde aurait pu être confronté à une pandémie de grande ampleur de par les caractéristiques de ce virus".
Le premier novembre 2013, un mois après la fin de l'épidémie, un nouveau cas est confirmé dans l'état du Queens. Mais après de multiples analyses, la souche virale observée n'est pas la même que la souche responsable de l'épidémie : il s'agit en fait d'une nouvelle souche, visiblement moins pathogène que la première. Il ne s'agira finalement que d'un cas isolé et aucun autre cas ne sera recensé les jours suivants.
Le premier novembre 2013, un mois après la fin de l'épidémie, un nouveau cas est confirmé dans l'état du Queens. Mais après de multiples analyses, la souche virale observée n'est pas la même que la souche responsable de l'épidémie : il s'agit en fait d'une nouvelle souche, visiblement moins pathogène que la première. Il ne s'agira finalement que d'un cas isolé et aucun autre cas ne sera recensé les jours suivants.
Mais le 15 novembre 2013, les autorités sanitaires locales de Méridionie notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique. Après analyses, il s'agira de la fièvre hémorragique du Queens souche faiblement pathogène. Le 29 novembre 2013, le stade d'épidémie est déclaré. Elle perdura jusqu'au 24 décembre 2013, date à partir de laquelle plus aucun cas ne sera recensé. Le bilan final est moins lourd que pour la première épidémie due à la souche hautement pathogène du virus mais est tout de même lourd : entre le 15 novembre 2013 et le 23 décembre 2013, la fièvre hémorragique du Queens souche faiblement pathogène aura infecté plus de 15 589 personnes et causé le décès de 401 d'entre-elles. Aucun cas importé à l'étranger ne sera signalé pour cette épidémie.
Mais le 15 novembre 2013, les autorités sanitaires locales de Méridionie notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique. Après analyses, il s'agira de la fièvre hémorragique du Queens souche faiblement pathogène. Le 29 novembre 2013, le stade d'épidémie est déclaré. Elle perdura jusqu'au 24 décembre 2013, date à partir de laquelle plus aucun cas ne sera recensé. Le bilan final est moins lourd que pour la première épidémie due à la souche hautement pathogène du virus mais est tout de même lourd : entre le 15 novembre 2013 et le 23 décembre 2013, la fièvre hémorragique du Queens souche faiblement pathogène aura infecté plus de 15 589 personnes et causé le décès de 401 d'entre-elles. Aucun cas importé à l'étranger ne sera signalé pour cette épidémie.
16

modifications