« Fièvre hémorragique du Queens » : différence entre les versions

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<br>- la deuxième souche, dite faiblement pathogène, avec une mortalité moindre de l'ordre de 3%.
<br>- la deuxième souche, dite faiblement pathogène, avec une mortalité moindre de l'ordre de 3%.


== Histoire et évolution des deux épidémies ==
== Histoire du virus et évolution des deux épidémies ==


Le premier septembre 2013, soit quelques heures seulement après la création de l'Organisation Nationale Simlandaise de la Santé, les autorités sanitaires locales du Queens notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique, on signale déjà de nombreux malades et décès. Après de multiples analyses faisant craindre le virus Marburg ou encore Ebola, il ne s'agit d'aucune fièvre hémorragique connue. La fièvre hémorragique du Queens est unique : elle a la particularité d'être dotée d'une transmission interhumaine avérée et soutenue, chose que ne possèdent heureusement pas ses cousines plus létales, Marburg et Ebola. S'ensuit une épidémie dans l'état du Queens mais aussi en Génésie, en Papaya, au Lewsland et en Plaines de l'Avalon. Après plus d'un mois de lutte acharnée, l'ONSS déclare la fin de l'épidémie le premier octobre 2013. Le bilan final est très lourd : en moins d'un mois, le virus a contaminé 17 123 personnes et causé la mort de 6883 d'entre-elles. Par chance, l'épidémie ne s'est pas propagée dans d'autres pays, malgré quelques cas importés et heureusement isolés aux Etats-Unis, en Italie et au Royaume-Uni. Le directeur général de l'époque, Aaron Newton, déclare le 3 octobre 2013 que "le monde aurait pu être confronté à une pandémie de grande ampleur de par les caractéristiques de ce virus".
Le premier septembre 2013, soit quelques heures seulement après la création de l'Organisation Nationale Simlandaise de la Santé, les autorités sanitaires locales du Queens notifient à l'ONSS des cas suspects de fièvre hémorragique, on signale déjà de nombreux malades et décès. Après de multiples analyses faisant craindre le virus Marburg ou encore Ebola, il ne s'agit d'aucune fièvre hémorragique connue. La fièvre hémorragique du Queens est unique : elle a la particularité d'être dotée d'une transmission interhumaine avérée et soutenue, chose que ne possèdent heureusement pas ses cousines plus létales, Marburg et Ebola. S'ensuit une épidémie dans l'état du Queens mais aussi en Génésie, en Papaya, au Lewsland et en Plaines de l'Avalon. Après plus d'un mois de lutte acharnée, l'ONSS déclare la fin de l'épidémie le premier octobre 2013. Le bilan final est très lourd : en moins d'un mois, le virus a contaminé 17 123 personnes et causé la mort de 6883 d'entre-elles. Par chance, l'épidémie ne s'est pas propagée dans d'autres pays, malgré quelques cas importés et heureusement isolés aux Etats-Unis, en Italie et au Royaume-Uni. Le directeur général de l'époque, Aaron Newton, déclare le 3 octobre 2013 que "le monde aurait pu être confronté à une pandémie de grande ampleur de par les caractéristiques de ce virus".
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