« Aurora » : différence entre les versions
m
restitution de la dernière modification de Cfc94
m (restitution de la dernière modification de Cfc94) |
|||
(15 versions intermédiaires par 3 utilisateurs non affichées) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Bronze}} | {{Bronze}} | ||
{| class=" | {| class="toccolours" style="float: right; width: 23em; font-size: 95%; text-align: left; margin-left:1em; vertical-align:top;" | ||
|- | |- | ||
| colspan="2" align="center" valign="middle" height="50" style="font-weight: bold; font-size: 1.5em; background: #ddffdd; color: #000000" | <font size="4">'''Aurora'''<br/> <font size="3">''Aurorenburg''</font size> <font size=2>(nl)</font size> | | colspan="2" align="center" valign="middle" height="50" style="font-weight: bold; font-size: 1.5em; background: #ddffdd; color: #000000" | <font size="4">'''Aurora'''<br/> <font size="3">''Aurorenburg''</font size> <font size=2>(nl)</font size> | ||
Ligne 182 : | Ligne 182 : | ||
Après la révolution de 1830, à laquelle la population prend une part active, l'activité économique se développe grâce à l'essor des industries anciennes et à l'installation de nouvelles productions ainsi qu'au développement des voies et moyens de communication. La ville devenant trop étroite, la démolition des remparts est décidée en 1886 ; elle s'achèvera en 1890. L'activité économique de Aurora est alors en plein essor. La ville de Aurora et son agglomération, produisant le plus de richesses du pays, participe grandement à l'accession des Plaines de l'Avalon au rang de puissance industrielle mondiale. | Après la révolution de 1830, à laquelle la population prend une part active, l'activité économique se développe grâce à l'essor des industries anciennes et à l'installation de nouvelles productions ainsi qu'au développement des voies et moyens de communication. La ville devenant trop étroite, la démolition des remparts est décidée en 1886 ; elle s'achèvera en 1890. L'activité économique de Aurora est alors en plein essor. La ville de Aurora et son agglomération, produisant le plus de richesses du pays, participe grandement à l'accession des Plaines de l'Avalon au rang de puissance industrielle mondiale. | ||
A Aurora, comme ailleurs dans le monde, la crise de 1929 va faire des ravages. Les entreprises peinent à se relever et la République ainsi que la commune n'hésitent à investir leur propres deniers pour les sauver. Cet investissement est trop important, la République emprunte de l'argent à toutes les banques possibles. Mais la Bank Van Zotterveld refuse un nouveau prêt en 1931. Le gouvernement se tourne alors vers Saint-Louis et le Duché du Maxiland. Ceux-ci refusent catégoriquement également. L'Etat se déclare faillite le 4 juin 1932. | |||
En septembre 1935, alors que le taux de chômage et de pauvreté explose, les Auroréens choisissent d'élire un bourgmestre fasciste. Jean Petit est élu. Il est le fondateur du Parti de l'Ordre et du Travail, seul parti d'extrême droite dans la région. Cette élection marque une réelle fracture entre la Capitale et les campagnes, entre la Capitale et le Gouvernement. Aurora est au mains de fascistes proche de l'Empire Mayen et son dirigeants, alors que la Gouvernement National est Libéral et démocrate. | |||
Les Banques de Zotterveld augmentent leur pression sur les grandes familles industrielles afin qu'ils paient leurs dettes. En janvier 1938, la plus grande usine sidérurgique Auroréenne tombe en faillite, et près de 2000 ouvriers se retrouve sans emplois, plongeant Aurora dans la plus grande crise de son histoire. | |||
===Seconde Guerre Mondiale=== | ===Seconde Guerre Mondiale=== | ||
Aurora fut | |||
En septembre 1939, l'Empire Mayen envahit le [[Royaume de Houde]]. Conformément au pacte de la Confédération de l'Avalon, le Président de la République Auroréenne déclare la guerre à l'Empire. Frank Power demande aux bourgmestres de lancer le plan de Mobilisation Générale. Le Bourgmestre d'Aurora refuse d'organiser cette mobilisation dans la ville. Il déclare même la ville, zone franche. Les jeunes Auroréens s'insurgent contre cette mesure et décide de quitter Aurora pour répondre à l'appel du Gouvernement dans les communes de avoisinantes. Alors qu'Aurora part en guerre, Jean Petit quitte la ville et part rencontrer Frantz Limetimer, dictateur de l'Empire Méridional. Le Gouvernement reprend le contrôle de la ville et donne le mayorat à l'ancien bourgmestre James Power. | |||
[[Fichier:JeanPetit.jpg|thumb|align|left|200px|Jean Petit en Uniforme SS après sa visite à Berchtesgaden]] | |||
Le 18 novembre 1939, l'Armée Mayenne entre dans Aurora. Le Gouvernement et le Président sont en fuite, avec le reste des troupes de la République. Les autorités Mayenne replace Jean Petit à la tête de la commune, et lui donne même le poste de Président de la République Auroréenne. Il place tous ses proches aux postes clefs du gouvernement et Aurora commence alors une politique collaborationniste avec le régime Mayen. | |||
Le 15 mai 1940, les Juifs sont chassés d'Aurora. Jean Petit qui a rencontré quelques semaines avant, Adolf Hitler, proclame que les Juifs devront désormais vivrent dans un camps dans la région de Liège sur Avalon. Les 2600 juifs d'Aurora vont rejoindre les 6500 autres juifs de la République. C'est suite à cet événement que la résistance Auroréenne va réellement s'organiser. | |||
Celle-ci organise en juin 1941, l'assassinat de Pierre Petit, le fils de Jean Petit qui est alors Bourgmestre faisant fonction. Les représailles seront terribles. Petit et ses sbires vont choisir dans la population 45 jeunes de moins de 25 ans, et vont les condamner à mort pour cet assassinat. Dans ces 45 hommes, seul 2 sont réellement impliqués et membres de la résistance. Ils seront fusillés sur la Grand Place le 15 juillet. | |||
Cet acte ne fut que le premier d'une longue série d'horreurs et d’exaction menée par le Régime de Petit. Malgré cela, il dispose encore d'un fort soutient populaire. Il a en effet donné du travail à bons nombres d'Auroréens. Les Sidérurgies tournent à plein à régime pour fournir de l'acier aux armées des forces de l'Axe, et les exploitations houillères fournissent toujours plus de charbon aux cokeries. Malgré les horreurs, Aurora a donc retrouvé une certaine place sur la carte du continent Simlandais, et une partie des Auroréens en sont heureux. | |||
[[Fichier:BatailledAurora.jpg|thumb|align|right|350px|Serge Desmedt]] | |||
Fin 1942, les troupes Soviétiques libèrent le Thoulak. Les communistes d'Aurora, qui avaient fuit au début du Régime de Petit reviennent clandestinement dans la ville, pour préparer l'arrivée de leurs camarades. Le 12 janvier 1943, la [[Première bataille d'Aurora]] débute ! L'aviation russe bombarde la ville depuis plusieurs jours, et la résistance a commencé son insurrection, quand les premiers T-34 entre dans Varenburg. Se battant pour chaque maison, pour chaque rue, les soviétiques soutenus par la résistance, progressent lentement. Il leur faudra près de 3 semaines pour atteindre l'Hotel de ville. Le 3 février, Serge Desmedt hisse les couleurs de l'URSS au balcon de l'Hotel de ville. Les troupes fidèle à Petit sont sur la rive gauche de l'Anduin. Ils parviennent à maintenir les troupes russes sur l'autre rives jusqu'à l'arrivée des renforts Mayen le 9 mars. L'empire Mayen bombarde alors les positions russes nuits et jours. Ces derniers se retrouvent encerclé au soir du 21 mars 1943, suite à une arrivée massive de troupes Méridionales à l'arrière des positions Russes. Les Russes soutenus par une grande partie de la population restante d'Aurora, résisteront à cette situation d'encerclement pendant près de 4 mois. | |||
En juillet 1943, le haut commandement Soviétiques décident d'enfin venir au secours des troupes à Aurora. L'aviation reprend les bombardements des position Mayenne et Méridionales. Des Katiousha, pilonne jours et nuits le flanc ouest des troupes Méridionales. Et finalement, le 10 juillet, le front méridional est percé. Les Auroréens sont sauvés. Les russes attaquent ensuite les Mayens et les troupes de Petit. Les troupes du gouvernement exilé à Londres, sont parachutées à l'arrière des lignes mayennes avec des membres de la 6ième Airbone Britannique. La bataille s'achève le 3 aout, date à laquelle où Aurora est entièrement libérée. Jean Petit est arrêté par les commando britannique le 2 août. Il est envoyé à Londres pour être jugé par le gouvernement exilé. | |||
Le Maréchal Jourov et le Général Mc Lee négocie avec le représentant du gouvernement officiel sur l'avenir de la ville. Les soviétiques veulent imposer Serge Desmedt comme bourgmestre, alors que les anglais et le gouvernement veut le retour de James Power. Une situation provisoire est trouvée. Power dirigera la partie est de la ville, alors que Desmedt dirigera la partie ouest, jusqu'à ce que des élections libres soient organisées. | |||
Cette situation durera jusqu'à la fin de la Guerre, lors de la capitulation du Japon, en septembre 1945. Les autorités Russes retournèrent au Thoulak. Les autorités anglaises, elles, resteront encore jusqu'à l'organisation des élections en octobre. Et au grand dam des Britanniques, c'est Serge Desmedt, bourgmestre du secteur Soviétique qui sera élu avec 63% des voix. La ville tombe entre les mains des communistes. | |||
=== Après Guerre=== | === Après Guerre=== | ||
Serge Desmedt, héro de la Résistance va s'atteler à la reconstruction de la ville. Il parvient à unifier la ville derrière son projet politique, malgré la fracture existante entre les différents quartiers de la ville. Il soutiendra le projet de son ancien adversaire James Power, de fonder un club de football. Il assistera au premier match du [[RFC Aurora]], après avoir offert un ancien terrain communal au club. | |||
Contrairement à ce que certain pensaient, la ville s'éloigne peu à peu du Soviétisme et se tourne vers un communisme plus libéral. Ceux qui jadis pensaient voir la ville basculer au mains des Thoulakiens, voit la ville se tourner vers le Duché du Maxisland. Ce qui provoqua la colère de Moscou, et la crise d'Aurora en 1951, qui aboutira à l'intégration de la République dans le Duché du Maxisland en janvier 1952. | |||
En 1967, le Haut Commandement de l'Armée Avalonnaise décide d'installer une base militaire à Aurora vu sa proximité avec le [[Thoulak]]. La base sera opérationnelle dès le 16 mai 1968. | En 1967, le Haut Commandement de l'Armée Avalonnaise décide d'installer une base militaire à Aurora vu sa proximité avec le [[Thoulak]]. La base sera opérationnelle dès le 16 mai 1968. | ||
Ligne 194 : | Ligne 223 : | ||
Cette période représente une nouvelle période faste pour la ville. La relance économique et le redressement du Maxisland passe par Aurora. Les industries lourdes tournent à plein régime. Les industriels tel Franck Thompson s'aggrandissent. Et bientôt, la main d'oeuvre manquera à Aurora. La ville passera un accord avec la ville italienne de Acate en 1947 et le gouvernement Français d'Algérie en 1948, afin d'organiser une immigration d'ouvrier pour les mines et la sidérurgie. | Cette période représente une nouvelle période faste pour la ville. La relance économique et le redressement du Maxisland passe par Aurora. Les industries lourdes tournent à plein régime. Les industriels tel Franck Thompson s'aggrandissent. Et bientôt, la main d'oeuvre manquera à Aurora. La ville passera un accord avec la ville italienne de Acate en 1947 et le gouvernement Français d'Algérie en 1948, afin d'organiser une immigration d'ouvrier pour les mines et la sidérurgie. | ||
Le 4 octobre 1964, Aurora connait sa pire catastrophe minière ! Les mineurs de la Fosse du Bac, situé sur la commune de Brouwerkerk, sont victime d'un coup de grisoux. Une centaines de mineurs sont bloqués au fond du trou. Seul 16 en reviendront vivant. Cette catastrophe | Le 4 octobre 1964, Aurora connait sa pire catastrophe minière ! Les mineurs de la Fosse du Bac, situé sur la commune de Brouwerkerk, sont victime d'un coup de grisoux. Une centaines de mineurs sont bloqués au fond du trou. Seul 16 en reviendront vivant. Cette catastrophe meurtrira réellement la région et entama le déclin de l'industrie houillière Auroréenne. | ||
===Grève de 1980 et après=== | ===Grève de 1980 et après=== | ||
Ligne 418 : | Ligne 447 : | ||
|- | |- | ||
|'''Jean Dellacourt''' | |'''Jean Dellacourt''' | ||
| 1930 - | | 1930 - 1935 | ||
| [[Parti Réformateur Libéral]] [[Fichier:Logoprl.png|30px]] | | [[Parti Réformateur Libéral]] [[Fichier:Logoprl.png|30px]] | ||
| | | | ||
|- | |||
|'''Jean Petit''' | |||
| 1935 - 1939 | |||
| Parti de l'Ordre et du Travail | |||
| Démis de ses fonctions en 1939 | |||
|- | |- | ||
|'''James Power''' | |'''James Power''' | ||
| | | 1939 | ||
| [[Parti Réformateur Libéral]][[Fichier:Logoprl.png|30px]] | | [[Parti Réformateur Libéral]] [[Fichier:Logoprl.png|30px]] | ||
| | | Mis en fonction par le Gouvernement. | ||
|- | |||
|'''Jean Petit''' | |||
| 1939 - 1943 | |||
| Parti de l'Ordre et du Travail | |||
| Remis en fonction par l'Armée Mayenne. | |||
|- | |- | ||
|''' | |'''James Power''' / '''Serge Desmedt''' | ||
| | | 1943 - 1945 | ||
| [[Parti Réformateur Libéral]][[Fichier:Logoprl.png|30px]] | | [[Parti Réformateur Libéral]][[Fichier:Logoprl.png|30px]]/ [[Parti Communiste Auroréen]] [[Fichier:PCA.png|25px]] | ||
| Premier échevin de James Power, élu en 1945. | | Premier échevin de James Power, élu en 1945. | ||
|- | |- | ||
| ''' | | '''Serge Desmedt''' | ||
| | | 1945 - 1955 | ||
| [[Parti Communiste Auroréen]] [[Fichier:PCA.png|25px]] | | [[Parti Communiste Auroréen]] [[Fichier:PCA.png|25px]] | ||
| | | | ||
|- | |- | ||
|'''James Power Jr''' | |'''James Power Jr''' | ||
Ligne 442 : | Ligne 481 : | ||
| Fils de James Power | | Fils de James Power | ||
|- | |- | ||
|'''Alexandre Thompson | |'''Alexandre Thompson''' | ||
| 1960 - 1980 | | 1960 - 1980 | ||
| [[Parti Indépendantiste Auroréen]] | | [[Parti Indépendantiste Auroréen]] | ||
| | | | ||
|- | |- | ||
| '''Alexandre Blondiaux de Battignies''' | | '''Alexandre Blondiaux de Battignies''' | ||
| 1980 - 2012 | | 1980 - 2012 | ||
Ligne 466 : | Ligne 500 : | ||
</center> | </center> | ||
De 1775 à 1830, période correspondant à la domination Britannique de Aurora, les Bourgmestres sont désignés par les autorités Coloniales Anglaises. En 1830, suite à la révolution, et l'instauration de la République Libre d'Aurora, François Dellacour est élu Bourgmestre de la ville d'Aurora. | De 1775 à 1830, période correspondant à la domination Britannique de Aurora, les Bourgmestres sont désignés par les autorités Coloniales Anglaises. En 1830, suite à la révolution, et l'instauration de la République Libre d'Aurora, François Dellacour est élu Bourgmestre de la ville d'Aurora. En septembre 1939, le gouvernement Républicain démet le bourgmestre élu Jean Petit de ses fonctions de bourgmestre et redonne le maïorat à James Power. En novembre 1939, suite à l'invasion d'Aurora par l'Armée Mayenne, Jean Petit revient au pouvoir à Aurora. Il devient Président de la République Libre d'Aurora et nomme son fils Pierre Petit bourgmestre faisant fonction. Ce dernier sera assassiné par la Résistance en juin 1941. De août 1943 à septembre 45, la ville d'Aurora est divisée en 2 secteurs, l'un britannique, l'autre Soviétique. Serge Desmedt est bourgmestre de la partie Soviétique, James Power de la partie Britannique. En septembre 1944, la ville d'Aurora est réunifiée et Serge Desmedt est élu bourgmestre au grand dam des autorités Britannique. | ||
===Résultat des élections=== | ===Résultat des élections=== | ||
Ligne 783 : | Ligne 818 : | ||
{{Modèle:VillesPA}} | {{Modèle:VillesPA}} | ||
{{Modèle:bandeauPA}} | {{Modèle:bandeauPA}} | ||
[[Catégorie:Maxisland]] | |||
[[Catégorie:Plaines de l'Avalon]] | |||
[[Catégorie:Aurora]] | |||
[[Catégorie:Ville de Simland]] |